Mais ceux qui pensent que les compagnies d'assurance sont dans le pétrin à cause de cela se trompent, sait Hans Selleslagh, porte-parole pour la Suisse du courtier en ligne Freedom24 : "Des études montrent que ces entreprises enregistrent certes des rendements légèrement négatifs après de grandes catastrophes, mais que les conséquences sont globalement moins graves que ce que certains pourraient attendre". Après des ouragans par exemple, les pertes seraient généralement inférieures à un pour cent, mais cela dépendrait de la gravité de la catastrophe naturelle. Lors de la saison des ouragans 2017, les ouragans Harvey, Irma et Maria ont causé des dommages à hauteur de 125 milliards de dollars US. Alors que les actions des compagnies d'assurance ont d'abord chuté en raison du paiement des dommages, les cours de sociétés comme Home Depot et Lowe's, qui fournissent des matériaux pour la reconstruction, ont nettement augmenté.

Intempéries à l'horizon : quels sont les secteurs les plus volatils ?

Pour les investisseurs, il est intéressant de savoir quel comportement les marchés ont tendance à adopter lorsque des conditions météorologiques extrêmes sont annoncées. Selleslagh répond : "Sur les marchés boursiers, les effets se font généralement sentir rapidement. Les secteurs étroitement liés à l'infrastructure physique, comme l'énergie, l'agriculture et les assurances, sont généralement les premiers à être touchés par la volatilité. Par exemple, si un ouragan est prévu dans le Golfe du Mexique, les prix du pétrole peuvent s'envoler, car les installations de production se préparent aux dégâts. De la même manière, les actions agricoles peuvent connaître un mouvement s'il y a un risque de dommages aux récoltes".

Par exemple, pendant les ouragans Harvey et Irma, qui ont considérablement affecté la production pétrolière américaine, l'indice de volatilité a fortement augmenté, ce qui indique une augmentation des craintes des investisseurs à court terme. Toutefois, lorsque les estimations des dommages ont commencé à se stabiliser et à être moins élevées que prévu, l'indice S&P 500 s'est rapidement redressé, ce qui illustre l'interaction complexe entre la peur d'une part et le soulagement lié à la reprise d'autre part dans le sentiment du marché. Mais comme les dommages et les perturbations ne se terminent généralement pas en quelques jours, mais qu'au contraire ils résonnent souvent longtemps, ils ont également des répercussions à long terme sur les bourses. "Les investisseurs ont tendance à considérer les événements climatiques extrêmes avec beaucoup d'inquiétude, car ils ont un impact direct sur les biens matériels et causent des problèmes à long terme", explique l'expert de Freedom24.   

Malédiction et bénédiction : Quels secteurs offrent des opportunités

Alors que personne ne souhaite les intempéries et qu'elles causent beaucoup de souffrances, la probabilité statistiquement plus élevée qu'elles se produisent par rapport aux années précédentes est désormais un fait. Certains secteurs sont particulièrement pertinents dans le contexte des catastrophes naturelles, ce qui crée des opportunités pour les investisseurs, par exemple dans le domaine de la construction et des infrastructures. "Les entreprises spécialisées dans la reconstruction après une catastrophe enregistrent souvent une demande accrue. Par exemple, l'entreprise d'engins de construction Caterpillar peut généralement enregistrer une augmentation des commandes après de fortes intempéries", explique Selleslagh. Il cite également le secteur des énergies renouvelables, ainsi que les entreprises qui travaillent sur des solutions technologiques pour une infrastructure intelligente et des systèmes d'alerte précoce en cas d'inondations et de tempêtes. Et les compagnies d'assurance, malgré des obligations de paiement massives à court terme, offrent elles aussi des opportunités et connaissent une demande croissante, par exemple lorsqu'elles élargissent leur offre à des assurances spéciales contre les catastrophes naturelles, qu'il s'agisse d'inondations ou de pertes de récoltes suite à des sécheresses.

La durabilité et l'orientation ESG ont la cote auprès des investisseurs

Compte tenu de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes, les investisseurs prennent de plus en plus en compte ces phénomènes, ou les risques qui en découlent, dans leurs décisions. "Les investisseurs recherchent de plus en plus des entreprises pour lesquelles la durabilité joue un rôle important", estime Selleslagh, qui ajoute : "Les entreprises qui répondent à des normes élevées dans les domaines ESG sont souvent considérées comme plus résistantes aux risques du changement climatique". Les fonds basés sur des critères ESG, comme l'indice MSCI ESG Leaders, ont obtenu ces dernières années de meilleurs rendements que les indices de marché traditionnels, conclut Selleslagh.

Source : www.freedom24.com

Organisé par le CFM (Collège Français de Métrologie), le CIM attire chaque année près de 650 participants de 45 pays. Le congrès renouvelle son partenariat avec Global Industrie, le plus grand salon industriel de France, et conforte ainsi sa position d'événement clé pour le secteur.

La transition au cœur de chaque défi

La métrologie joue un rôle crucial pour relever les défis environnementaux et numériques actuels. Cette année, l'accent sera mis sur la manière dont la métrologie peut soutenir le développement durable, à travers de nombreuses conférences et présentations par affiches, ainsi que lors de la principale session plénière du congrès. En outre, la numérisation de la métrologie, l'un des plus grands défis de la prochaine décennie, sera abordée dans trois sessions de conférence et trois tables rondes.

"Cette année, nous avons choisi le titre 'Une nouvelle métrologie pour une industrie et une société durables' parce que le programme montre clairement comment la métrologie évolue et comment notre communauté cherche de nouvelles façons de contribuer au défi de la durabilité", a déclaré Martin Milton, directeur du BIPM & président de CIM2025.

Quatre jours pour prendre son envol

Pendant quatre jours, les participants auront l'occasion d'explorer tous les thèmes importants liés à la métrologie internationale.

L'objectif ? Permettre à chaque participant de tirer le meilleur parti de l'événement, qu'il s'agisse d'élargir ses connaissances, de développer son réseau ou de découvrir les dernières avancées technologiques. Des dernières innovations dans différents domaines techniques à l'optimisation des processus de mesure et de qualité, rien ne sera négligé au CIM.

Cette édition célèbre également le 150e anniversaire de la Convention du mètre, une étape historique à ne pas manquer.

Quel est le programme ?

200 conférences, réparties en présentations orales et affiches

5 tables rondes :

• IoT et métrologie : vers un Internet de la métrologie ?
• Infrastructure de qualité dans un monde numérique
• Lutter contre les polluants préoccupants pour un avenir plus sain
• Capteurs quantiques : la prochaine révolution industrielle
• Métrologe : une espèce en voie de disparition ?

Session plénière : "Une nouvelle métrologie pour une industrie et une société durables"

Atelier QI-DIGITAL : La métrologie dans la transformation numérique de l'infrastructure internationale de la qualité

Cours court : Assurer la traçabilité des mesures dans les laboratoires ISO/IEC 17 025 - Nouveau en 2025

Nombreux Activités de réseautage (pauses-café, service de restauration, soirée de gala, MyGI, etc.)

Toutes les présentations sur place seront faites en anglais.

Le public se compose de 650 participants de 45 pays :

• 65 % représentent des utilisateurs finaux de différents secteurs,
• 35 % provenant d'organismes officiels et de laboratoires de recherche

Zone d'exposition pour les acteurs de l'industrie et de la recherche

Le Metrology Village, situé au centre du secteur Measurement, Control, Vision and Instrumentation, est le point de rencontre central pour les exposants, les participants au congrès et les visiteurs du Global Industrie Trade Show. C'est là que se présentent les fabricants d'instruments de mesure, les prestataires de services, les instituts de premier plan, etc., dont les stands et les emplacements offrent une expérience complète des dernières innovations et prestations de services.

La Metrology Village Square sera le cœur du réseautage et de la collaboration, ce qui en fait un lieu parfait pour établir des liens stratégiques et explorer de futurs partenariats.

Source et informations complémentaires : www.cim-metrology.org

Le groupe mobilezone s'efforce de réduire de manière significative les émissions de CO₂ à l'échelle du groupe d'ici 2032 ou 2045. L'engagement pris envers la SBTi est une étape supplémentaire pour garantir une activité commerciale durable à long terme. Les objectifs de réduction à court et à long terme seront développés par mobilezone au cours des prochains mois et publiés à l'intention de la SBTi, qui les vérifiera et les validera. 

"Nous sommes conscients de la responsabilité qui nous incombe en tant qu'entreprise et nous souhaitons apporter notre contribution à la réduction des émissions globales de CO₂. La collaboration avec la SBTi nous permet de fixer des objectifs scientifiquement fondés et d'apporter ainsi notre contribution à un avenir durable", déclare Bernhard Mächler, Chief Financial Officer Suisse.

Dès le rapport d'activité 2023, le groupe mobilezone a relevé son empreinte CO₂ avec l'année de base 2022 dans les scopes 1, 2 et 3 et l'a fait certifier avec la norme ISO 14064.

La Science Based Targets Initiative aide les entreprises à formuler et à valider des objectifs climatiques en accord avec les connaissances scientifiques actuelles. Elle a été créée par le WWF (World Wide Fund for Nature), le Carbon Disclosure Project (CDP), le United Nations Global Compact et le World Resources Institute (WRI) afin de donner aux entreprises un instrument leur permettant de fixer des objectifs climatiques contraignants et de contribuer ainsi à la réduction des émissions mondiales de gaz à effet de serre. L'objectif de l'accord de Paris sur le climat est de limiter le réchauffement de la planète à bien moins de 2 degrés, et si possible à 1,5 degré.

Source : www.mobilezoneholding.ch

C'est ce que montre l'étude mondiale actuelle de la branche "Spotlight Zukunft 2024". A la demande du fournisseur PLM Aras, 835 cadres supérieurs ont été interrogés aux Etats-Unis, en Europe et au Japon.

"Les produits industriels modernes peuvent être adaptés à l'évolution des besoins des utilisateurs au cours de leur cycle de vie à l'aide de logiciels. L'abandon du concept de produit statique apporte des avantages à l'industrie et aux utilisateurs", explique Jens Rollenmüller, vice-président régional chez Aras. Le souhait d'une plus grande flexibilité dans l'adaptation des produits ainsi que la possibilité d'une meilleure maintenance et d'une analyse permanente des données sont, avec la rentabilité, les principales motivations. "Des secteurs comme l'industrie automobile misent de plus en plus sur les fonctions pilotées par logiciel, notamment pour trouver des sources de revenus supplémentaires. Les modèles d'abonnement pour des fonctions supplémentaires telles que les sièges chauffants en sont un exemple", explique l'expert du secteur Rollenmüller.

L'imbrication croissante des logiciels et des produits physiques se reflète dans les chiffres d'affaires. Alors qu'environ un tiers des entreprises réalisent actuellement au moins 25% de leur chiffre d'affaires avec des modèles commerciaux numériques, plus de la moitié des personnes interrogées prévoient d'augmenter cette part à au moins 25% dans les cinq prochaines années. La volonté de développer des modèles commerciaux numériques est particulièrement marquée en Grande-Bretagne et en France. Là-bas, une entreprise sur deux réalise déjà une part significative de son chiffre d'affaires grâce aux technologies numériques. La région DACH se situe ici dans la moyenne, tandis que le Japon se montre encore réticent.

Des modèles commerciaux numériques à fort potentiel

Les résultats de l'étude Aras montrent à quel point les modèles commerciaux tels que Product-as-a-Service (PaaS) et Data-as-a-Service (DaaS) sont déjà importants : 76 pour cent des entreprises du monde entier proposent déjà le PaaS ou prévoient de le faire. Avec 85 pour cent, le DaaS a atteint un degré de diffusion encore plus élevé.

"Avec de telles offres, les entreprises peuvent réagir de manière ciblée aux changements du marché tout en augmentant leur chiffre d'affaires. Elles sont ainsi mieux armées pour faire face aux crises. De plus, la transformation vers des modèles commerciaux numériques assure une plus grande prévisibilité et efficacité dans les activités quotidiennes", explique le manager Aras Rollenmüller.

Les modèles commerciaux numériques sont également mis en œuvre dans la production. Ainsi, environ un tiers des entreprises proposent des configurations individuelles jusqu'à la taille de lot 1, et autant sont en train de les mettre en œuvre. L'expert industriel Rollenmüller : "L'objectif de l'usine intelligente est de fournir des produits sur mesure à la vitesse de la production de masse. La numérisation permet cette personnalisation de masse à grande échelle, mais nous avons constaté que les entreprises moyennes, en particulier, doivent encore faire un travail de développement dans ce domaine pour ne pas perdre le contact".

Source : www.aras.com

L'expérience et la réputation de Sophos en tant que leader des services de sécurité managés et des produits de sécurité de bout en bout, combinées à l'expertise de Secureworks en matière d'opérations de sécurité intégrée à la plate-forme Taegis, devraient donner naissance à d'autres solutions MDR et XDR avancées et complémentaires dont bénéficieront leurs clients internationaux. Ensemble, ils contribueront à renforcer la résilience et la sécurité des organisations mondiales de toutes tailles grâce à une combinaison de contrôles de sécurité, d'IA, d'une intelligence des menaces de premier ordre et de deux équipes disposant de dizaines d'années d'expérience dans le domaine de la cybersécurité.

Sophos s'attend à ce que les solutions des deux entreprises s'intègrent dans un portefeuille de sécurité plus large et plus fort, dont bénéficieront les petites, moyennes et grandes entreprises. Cela implique que Sophos ajoute à son portefeuille actuel de nouvelles offres telles que la détection et la réponse aux identités (ITDR), les fonctions SIEM de nouvelle génération, la sécurité OT (Operational Technology) et une meilleure hiérarchisation des risques de vulnérabilité. La fusion de Sophos et de Secureworks permettra à l'entreprise d'étendre sa présence sur le marché afin de créer une plus grande valeur ajoutée au sein du channel et de renforcer la communauté de la sécurité dans son ensemble.

"Secureworks offre une solution innovante et leader sur le marché avec sa plate-forme Taegis XDR. Associée à nos solutions de sécurité et à notre leadership industriel en matière de MDR, elle nous permettra de renforcer notre position commune sur le marché et d'obtenir de meilleurs résultats pour les entreprises de toutes tailles dans le monde entier", déclare Joe Levy, CEO de Sophos. "L'expertise réputée de Secureworks en matière de cybersécurité s'inscrit parfaitement dans notre mission de protection des entreprises contre la cybercriminalité en proposant des produits et des services puissants et intuitifs. Cette acquisition est une étape importante dans notre engagement pour un avenir numérique plus sûr pour tous".

Les cyber-risques continuent de s'aggraver, alimentés par un écosystème de cyber-criminels en pleine expansion et par des pressions géopolitiques mondiales. Ensemble, Sophos et Secureworks disposent depuis longtemps de capacités exceptionnelles en matière de renseignement sur les menaces, d'opérations de sécurité, de réponse aux incidents et de produits de sécurité innovants pour aider les entreprises à vaincre ces agresseurs.

"Notre mission chez Secureworks a toujours été de sécuriser le progrès humain. Le portefeuille de solutions de pointe de Sophos en matière de sécurité des systèmes d'extrémité, du cloud et des réseaux - associé à notre solution Managed Detection and Response basée sur XDR - est exactement ce que les entreprises recherchent pour renforcer leur sécurité et, ensemble, renverser la vapeur face aux attaquants", déclare Wendy Thomas, CEO de Secureworks. "Joe et moi pensons tous les deux que cette transaction va renforcer notre offre sur le marché avec la taille mondiale, l'expertise et la réputation de Sophos".

Détails de la transaction

Dans le cadre de cet accord, Sophos a l'intention d'acquérir Secureworks par le biais d'une transaction en espèces d'une valeur de 859 millions de dollars. Les actionnaires de Secureworks, y compris Dell Technologies, recevront 8,50 dollars par action en espèces. Cela correspond à une prime de 28 % par rapport au cours moyen pondéré par les volumes sur 90 jours (VWAP) non influencé. La transaction devrait être finalisée au début de l'année 2025, sous réserve des conditions de clôture habituelles. Pour plus d'informations sur cette annonce, veuillez consulter le formulaire 8-K déposé par Secureworks auprès de la United States Securities and Exchange Commission (SEC) le 21 octobre 2024.

Kirkland & Ellis LLP agit en tant que conseiller juridique de Sophos et Goldman Sachs & Co. LLC, Barclays, BofA Securities, HSBC Securities (USA) Inc. et UBS Investment Bank agissent en tant que conseillers financiers et assurent le financement par emprunt de la transaction. Piper Sandler & Company et Morgan Stanley & Co. LLC agissent en tant que conseillers financiers pour Secureworks et Paul, Weiss, Rifkind, Wharton & Garrison LLP en tant que conseillers juridiques.

Source : www.sophos.com

Cette année, la Swiss Cyber Storm du 22 octobre 2024 aura pour thème "The AI Revolution" et portera sur les dangers et les opportunités de l'intelligence artificielle : d'une part, les attaques assistées par l'IA représentent une nouvelle dimension de danger pour les systèmes informatiques, d'autre part, l'intelligence artificielle peut également être utilisée pour se défendre contre des attaques encore inconnues jusqu'à présent. En fin de compte, les systèmes informatiques basés sur l'IA posent également des exigences particulières en matière de sécurité.

La conférence abordera donc des thèmes tels que : Quel est l'état actuel de la menace de l'intelligence artificielle ? Quelles sont les attaques basées sur l'IA que l'on peut déjà observer ? Comment peut-on s'en prémunir et quelle aide l'IA peut-elle déjà apporter ? Comment les applications d'intelligence artificielle doivent-elles et peuvent-elles être protégées afin qu'elles puissent remplir leurs fonctions sans subir d'influences néfastes de l'extérieur ? Outre l'IA, d'autres thèmes actuels de la sécurité informatique seront abordés lors du Swiss Cyber Storm. 

Daniel Miessler, expert en IA et en sécurité, ouvrira la conférence avec son exposé principal intitulé "How to Run Your Security Program with AI Before Someone Else Does". Les participants à la conférence sortiront de l'exposé avec une nouvelle façon de penser non seulement l'IA, mais aussi les programmes de sécurité.

Une sélection de speakers et de talks sur le thème de l'IA :

• Lukasz Olejnik (chercheur indépendant) : "AI and Technology Powered Propaganda and Disinformation Operations" (IA et technologies de propagande et de désinformation)
• Eva Wolfangel (journaliste indépendante) : "When Chatbots Talk Too Much : The Risks and Rewards of AI Manipulation" (Quand les chatbots parlent trop : les risques et les avantages de la manipulation des IA)
• Cornelia Puhze (Expert en sensibilisation à la sécurité, Switch) : "Human-Centred Security Meets AI : How to Navigate New Threats" (La sécurité centrée sur l'humain rencontre l'IA : comment naviguer les nouvelles menaces)

Une sélection de speakers et de talks sur d'autres thèmes liés à la sécurité :

• Ruben Santamarta (chercheur indépendant) : "When Physics Meets (Reverse) Engineering : Understanding Cyber-Physical Attacks Against Nuclear Reactors" (Quand la physique rencontre l'ingénierie inverse : comprendre les attaques cyber-physiques contre les réacteurs nucléaires)
• Maya Bundt (présidente du comité de pilotage de la cyberstratégie nationale) et FabianWilli (Head Cyber Key Accounts, Swiss Re) : "An Insider Perspective on Cyber Insurance - Yes or No ?" (Un point de vue d'initié sur la cyberassurance - Oui ou non ?
• Ida Hameete (conseillère indépendante en stratégie de cybersécurité) : "Overcoming Resistance with Purpose-Driven Security. A Lesson in Practical Socio-Dynamics" (Une leçon de sociodynamique pratique)

John Graham-Cumming, directeur technique de Cloudflare, clôturera le débat avec son discours de clôture ("Lessons from Using Machine Learning for Active Defense Over 20 Years"). Graham-Cumming y évoque la longue histoire de l'apprentissage automatique et explique comment il tente depuis plus de vingt ans d'utiliser le ML pour sécuriser les applications.

Les autres intervenants du programme principal sont : Monica Amgwerd, Laura Bell Main, Kathrin Grosse, Víctor Mayoral Vilches, David Rosenthal, Allyn Stott, Matt Tesauro et Bonnie Viteri.

Les pauses café et la pause déjeuner offrent suffisamment d'occasions de réseautage et de discussion avec les intervenants. Une fois le programme officiel terminé, tous les participants sont invités à l'apéritif et à la fameuse tombola.

Source et informations complémentaires : www.swisscyberstorm.com

Selon l'enquête de Keeper, 84 % des responsables informatiques et de la sécurité estiment que les attaques de phishing et de smishing - déjà une menace critique - sont encore plus difficiles à détecter grâce aux outils d'IA. En réponse à cela, 81% des entreprises ont mis en place des politiques d'utilisation de l'IA pour les employés. Le niveau de confiance dans ces politiques est également élevé : 77% des cadres supérieurs indiquent qu'ils connaissent très bien ou bien les meilleures pratiques en matière de sécurité de l'IA.

Malgré ces efforts, l'écart entre les politiques et la gestion des menaces dirigées par l'IA persiste. Le rapport "2024 Top Data Threats" de Keeper montre que 51 pour cent des responsables de la sécurité considèrent les attaques dirigées par l'IA comme la plus grande menace pour leurs entreprises. En outre, 35 % estiment que leur entreprise est la moins préparée à combattre ces attaques par rapport à d'autres types de cybermenaces.

Pour faire face à ces nouveaux défis, les entreprises se concentrent sur plusieurs stratégies clés :

• le cryptage des données : Il s'agit de la mesure la plus répandue : 51 % des responsables informatiques l'ont intégrée dans leurs stratégies de sécurité. Le cryptage permet de protéger les données sensibles contre tout accès non autorisé, ce qui est essentiel pour contrer les attaques dirigées par l'IA.
• Formation et sensibilisation du personnel : En priorité, 45 % des entreprises se concentrent sur l'amélioration de leurs programmes de formation afin de mieux préparer leurs employés à l'évolution du paysage des menaces. Une formation efficace peut aider les employés à reconnaître et à réagir aux tentatives de phishing et de smishing basées sur l'IA.
• Systèmes avancés de détection des menaces : Avec 41 % des organisations qui investissent dans ces systèmes, l'accent est clairement mis sur l'amélioration de la capacité de détection et de réaction aux menaces sophistiquées dirigées par l'IA. Les solutions avancées de détection des menaces peuvent avertir à temps et réduire les dommages potentiels causés par ces attaques.

L'émergence de cyber-attaques dirigées par l'IA pose de nouveaux défis. Les pratiques de base en matière de cybersécurité - comme le cryptage des données, la formation des collaborateurs ou la détection avancée des menaces - restent essentielles. Les organisations doivent veiller à ce que ces mesures de base soient régulièrement mises à jour et adaptées aux nouvelles menaces.

En plus de ces mesures de base, l'introduction de cadres de sécurité avancés comme Zero Trust et la mise en œuvre de solutions de gestion des accès privilégiés (PAM) comme KeeperPAM peuvent considérablement améliorer la résilience. Zero Trust garantit que chaque utilisateur, chaque appareil et chaque application est continuellement contrôlé avant d'accéder à des systèmes critiques. Cela permet de minimiser le risque d'accès non autorisé et de limiter le rayon de propagation en cas d'attaque. PAM contribue à protéger les comptes sensibles d'une entreprise en contrôlant, surveillant et vérifiant l'accès privilégié. Ceci est particulièrement important pour la défense contre les attaques sophistiquées dirigées par l'IA qui ciblent les informations d'identification sensibles.

Les entreprises devraient également agir de manière proactive en révisant régulièrement leurs politiques de sécurité, en effectuant des audits de routine et en promouvant une culture de sensibilisation à la cybersécurité. Même si les entreprises progressent, la cybersécurité est un domaine en constante évolution qui nécessite une vigilance permanente. La combinaison de pratiques de base et d'approches modernes telles que la confiance zéro et le PAM aide les entreprises à garder une longueur d'avance sur les menaces basées sur l'IA qui évoluent.

Source : www.keepersecurity.com

La nouvelle solution pour les paiements intégrés combine la technologie de paiement pour les plateformes développée par OPP avec la vaste expertise de Worldline dans les domaines de l'acquisition, de l'acceptation et des points de vente. La solution intégrée dote les plateformes et les places de marché de fonctions importantes telles que les paiements partagés, les comptes fiduciaires avancés ainsi qu'un traitement unique de l'intermédiation. Cela ouvre aux entreprises de nouvelles opportunités de revenus et favorise une plus grande fidélisation de la clientèle.

Avec Embedded Payments, les entreprises répondent aux différents besoins des plateformes. En tant que solution complète et clé en main, cette technologie aide non seulement les utilisateurs à s'inscrire, à vendre et à être payés rapidement, mais aussi à gérer ces opérations pour plusieurs devises. Elle prend en charge toutes les méthodes de paiement pertinentes et offre le support local nécessaire pour aider les utilisateurs sur les différents marchés.

La solution de paiement intégrée offre pour les plates-formes et les places de marché :

• un ensemble complet clé en main qui rationalise les processus grâce à une aide à l'intégration et à des interfaces conviviales
• un fort onboarding des entreprises et des consommateurs, qui augmente la confiance des utilisateurs et réduit les fraudes
• des solutions entièrement conformes à l'UE et au Royaume-Uni pour répondre aux normes réglementaires
• une grande qualité de support grâce à une assistance de premier et de deuxième niveau, des outils de médiation automatisés et bien plus encore
• déploiement rapide et simple de plateformes avec solution de paiement intégrée

La solution de paiement intégrée est maintenant prête à être utilisée sur les marchés de l'UE. Le déploiement en Suisse et au Royaume-Uni aura lieu à une date ultérieure. L'intégration de Tap on Mobile et Point of Sale est également prévue à long terme, ce qui améliorera encore l'expérience de paiement pour les utilisateurs.

Marc-Henri Desportes, Chief Executive Officer chez Worldline, déclare : "En combinant les solides capacités de plateforme d'OPP avec notre vaste expertise en matière d'acquisition, nous sommes en mesure de proposer une solution de paiement intégrée qui offre aux plateformes et aux places de marché une opportunité unique d'intégrer et d'utiliser de nouvelles options de paiement".

Richard Straver, fondateur d'OPP, ajoute : "Avec cette offre commune, nous établissons de nouvelles références dans le domaine du paiement. La combinaison de nos capacités en termes d'accès et de la forte présence de Worldline permet d'offrir une expérience transparente et efficace aux plateformes et à leurs sous-traitants".

Les deux entreprises ont le plaisir de présenter leur solution innovante de paiements intégrés lors de l'événement exclusif "The New Embedded Payments. Conçu pour les visionnaires". qui sera organisé et diffusé en ligne au Centre d'expérience de l'innovation de Worldline, au siège de la société à Paris-La Défense. Cet événement très attendu aura lieu l'après-midi du 22 octobre 2024 et sera une occasion unique d'explorer l'avenir des paiements intégrés pour les plateformes et les places de marché.

Source : www.worldline.com / www.onlinepaymentplatform.com

Il s'est consacré à la question de savoir comment déterminer et mettre en œuvre le besoin de produits et de services numériques accessibles dans les entreprises suisses. Son travail a été récompensé cette année par le prix UBS du développement durable pour les travaux de bachelor exceptionnels de la HWZ Hochschule für Wirtschaft Zürich.

Dans un monde de plus en plus numérique, il est très important que les produits et services numériques des entreprises soient également accessibles aux personnes handicapées. L'excellent travail de bachelor de Nils Kümin présente les facteurs clés pour une mise en œuvre adéquate de l'accessibilité numérique en tenant compte de cette directive.

Nouvelles exigences de la directive européenne 2019/882

En avril 2019, le Parlement européen a adopté la directive européenne 2019/882, qui doit être transposée dans les législations nationales d'ici juin 2025. Elle pose des exigences en matière d'accessibilité pour les produits et les services. Bien que la Suisse ne soit pas elle-même membre de l'UE, cette directive est contraignante pour les entreprises suisses actives dans l'Union et ayant une certaine taille minimale. Ce travail aborde donc une problématique très actuelle, dont l'importance dépasse nos frontières nationales.

Des solutions concrètes pour les entreprises suisses dans la pratique

Nils Kümin a habilement traité une question complexe et très pertinente et l'a étudiée de manière scientifiquement convaincante. Grâce à des entretiens qualitatifs avec deux groupes clés, à savoir des personnes handicapées et des représentants d'entreprises, l'auteur parvient à mettre en lumière différentes perspectives sur le thème de l'accessibilité numérique. En s'appuyant sur des bases scientifiques, il parvient à montrer que le chemin est encore long et qu'il existe encore quelques obstacles à la mise en œuvre. Du côté des personnes concernées, il existe un besoin de produits et de services accessibles avec un support client compétent et accessible. Du côté des entreprises, le développement sans barrières est souvent entravé par une combinaison de préoccupations économiques, de manque de sensibilisation et de savoir-faire technique.

Les recommandations d'action précieuses que l'auteur donne aux entreprises concernées constituent le cœur de l'ouvrage. Elles aident les entreprises à identifier, dans un premier temps, les besoins en produits et services accessibles et, dans un deuxième temps, leur donnent la main pour satisfaire aux nouvelles exigences légales. En plus de sa prestation théorique, Nils Kümin a ainsi développé des solutions concrètes pour la pratique.

L'attribution du prix UBS pour le développement durable

Pour la sixième fois consécutive, la HWZ décerne, en collaboration avec UBS, le prix de la durabilité pour des travaux de bachelor exceptionnels. Le travail de Nils Kümin allie une approche méthodologique convaincante à des connaissances pratiques pertinentes. Il a apporté une contribution à la fois précieuse et innovante dans le domaine de la durabilité sociale, avec une grande valeur ajoutée. Le jury a récompensé cette performance en lui décernant le prix UBS de la durabilité, qui a été remis cette année encore dans le cadre de la cérémonie de remise des diplômes de bachelor du mercredi 2 octobre 2024.

Source : www.fh-hwz.ch

Un jury composé d'investisseurs et d'experts financiers a sélectionné les startups parmi plus de 50 candidatures. Le roadshow propose des sessions de pitch et des entretiens avec des clients, ainsi que la participation à la conférence Fintech Connect, afin de développer leur réseau dans le secteur financier international. Le roadshow est organisé par Venturelab en collaboration avec Swissnex, avec le soutien de l'EPFL, de l'ETH Zurich et de Walder Wyss.

Les entrepreneurs Fintech de cette année rejoignent un groupe impressionnant d'anciens de la Fintech, qui comprend des startups à succès comme Crypto Finance (rachetée par Deutsche Börse), eCollect (rachetée par Intrum), Imburse (rachetée par Duck Creek Technologies), Qumram (rachetée par Dynatrace), Lend, Sonect, TP24, Wyden et bien d'autres.

"L'équipe Venture Leaders Fintech 2024 représente l'esprit d'innovation de la scène Fintech suisse" déclare Jordi Montserrat, cofondateur et Managing Partner de Venturelab. "Le roadshow de Londres est une occasion précieuse d'entrer en contact avec des investisseurs et des leaders du secteur.

Voici les Venture Leaders Fintech 2024 :

Kasparund | Saint-Gall | kasparund.ch

Kaspar& est la première solution d'investissement tout-en-un qui transforme les clients payeurs en investisseurs, renforce la fidélité des clients et crée une relation bancaire exceptionnelle à long terme. Grâce à sa facilité d'intégration et à ses procédures entièrement couvertes, Kaspar& permet à ses partenaires d'occuper une position de pointe sur le marché de la gestion de fortune pour la classe moyenne aisée.

CrowdTransfer | Train | crowdtransfer.io

CrowdTransfer propose une plateforme sur laquelle les fans de football peuvent participer au financement et à la création de leurs clubs préférés et recevoir des récompenses financières basées sur les performances du club, ainsi que des expériences personnelles uniques.

FumeX | Locarno | fume.finance

Fume est une plateforme de tokenisation pour les fonds qui permet aux gestionnaires d'investissement de simplifier et d'automatiser leur gestion avec des blockchains publiques. Conçue pour l'efficacité et la conformité dans les juridictions de premier plan, Fume définit la nouvelle génération de fonds d'investissement sur chaîne pour n'importe quel actif.

Hypt | Berne | join-hypt.com

Hypt permet aux entreprises de mesurer et de faire évoluer les recommandations personnelles afin d'augmenter leur chiffre d'affaires et de générer quotidiennement des informations sur les clients. Il offre aux professionnels du marketing, du CX et des ventes des banques, des assurances et au-delà une solution tout-en-un pour mesurer efficacement la satisfaction et attirer de nouveaux clients.

Kemiex | Zurich | kemiex.com

Kemiex a été fondée en 2017 à Zurich pour améliorer la gestion des matières premières dans les secteurs de l'alimentation animale, de l'alimentation humaine, de la médecine vétérinaire et de la pharmacie, en soutenant la numérisation des transactions et en fournissant des données et des analyses dans ces secteurs. Sa plateforme soutient des clients dans près de 100 pays.

Layer Finance | Zurich | layerfinance.com

Layer Finance est une plateforme de deal sourcing qui offre aux investisseurs professionnels un accès exclusif à des opportunités de premier ordre dans les domaines de l'immobilier et des actifs privés. L'automatisation basée sur l'IA permet d'optimiser l'extraction des données, de fournir des aperçus et de faire correspondre les investissements, ce qui augmente l'efficacité de plus de 80 % et permet de prendre des décisions plus rapidement.

Relai | Zurich | relai.app

Relai est la première application Bitcoin d'Europe - développée en Suisse. Avec la mission de rendre le bitcoin simple, ils s'efforcent de rendre 100 millions de personnes en Europe financièrement autonomes. L'équipe de 30 employés sert plus de 100 000 utilisateurs actifs, est soutenue par des sociétés de capital-risque de premier plan comme Redalpine Ventures et a traité un volume d'échanges de plus de 600 millions de dollars en BTC au cours des quatre dernières années.

Riskwolf | Zurich | riskwolf.com

Riskwolf est une plateforme d'assurance full-stack qui fournit des données uniques en temps réel et une modélisation dynamique des risques, permettant ainsi aux assureurs de construire et d'exploiter des produits d'assurance paramétriques à grande échelle. La plateforme se concentre actuellement sur les risques climatiques et technologiques et propose des sources de données paramétriques préétablies pour différents secteurs tels que l'agriculture, la giga-économie et le crédit.

SmartPurse | Zurich | smartpurse.me/en-ch

SmartPurse est une plateforme d'éducation financière de premier plan dont l'objectif est de fournir aux individus les connaissances et les outils dont ils ont besoin pour contrôler leurs finances en toute confiance. Les cofondateurs Olga Miler et Jude Kelly poursuivent la mission de créer un avenir dans lequel chacun peut atteindre l'indépendance financière, la sécurité et la tranquillité d'esprit.

Tiun | Zurich | tiun.app

Tiun a commencé avec une idée simple - permettre à la prochaine génération de connecter leurs porte-monnaie mobiles à n'importe quelle application et de payer en fonction de l'utilisation. Ils créent une nouvelle norme qui permet l'interopérabilité entre les porte-monnaie et les applications grâce à une solution à faible code proposée aux entreprises.

Source et informations complémentaires : www.venture-leaders.ch

La sécurité des données dans le cloud devient de plus en plus un élément critique de l'infrastructure informatique des entreprises. Elles utilisent de plus en plus souvent des services en nuage pour l'exploitation d'applications et le stockage de données, tandis que le travail à distance et le travail mobile permettent à une partie de plus en plus importante de leur personnel d'accéder à ces services en nuage depuis l'extérieur du réseau de l'entreprise, à l'aide de terminaux très divers. La surface d'attaque des cybercriminels s'en trouve élargie et de nouvelles portes d'entrée s'offrent à eux.

Si les entreprises perdent la propriété intellectuelle ou des informations personnelles dans le cloud, elles s'exposent à des conséquences considérables. Celles-ci vont de lourdes amendes à des pertes de chiffre d'affaires menaçant l'existence même de l'entreprise, en passant par une perte de réputation irréparable. Le spécialiste de la cybersécurité Forcepoint explique cinq mesures qui permettent aux entreprises d'éviter cela.

1. Mettre en œuvre des frameworks zero-trust

L'approche de sécurité Zero Trust vise à ce que seuls les utilisateurs de confiance puissent accéder aux applications hébergeant des données sensibles. Pour l'accès aux services en nuage, les entreprises peuvent s'en assurer à l'aide d'un CASB (Cloud Access Security Broker). Cet outil de sécurité prend en charge l'authentification multifactorielle (MFA) et l'authentification unique (SSO) et peut appliquer des autorisations à granularité fine. Il garantit ainsi que seuls les utilisateurs autorisés ont accès à certaines données et applications.

2. Mettre en place des politiques pour les interactions de données

Pour protéger leurs données sensibles dans le cloud, ils doivent définir des politiques en la matière et déterminer quelles données peuvent être téléchargées dans un cloud, par exemple dans une plateforme GenAI, ou quelles informations les collaborateurs peuvent télécharger depuis un cloud sur des appareils BYOD qui ne sont pas gérés par l'informatique centrale. Les cadres et les normes déjà existants peuvent les aider. Souvent, des politiques pré-définies permettent de créer rapidement et facilement des directives appropriées pour les interactions de données dans le cloud.

3. Pratiquer la découverte et la classification des données en continu

Pour que les entreprises puissent protéger leurs données sensibles dans le cloud, elles doivent d'abord déterminer lesquelles elles possèdent et où elles se trouvent exactement - et ce non pas une seule fois, mais en permanence, car leurs données sont constamment modifiées et étendues dans la vie professionnelle quotidienne. Les outils modernes leur offrent de nombreux automatismes à cet effet. Ils peuvent scanner tous les emplacements de stockage d'une entreprise dans le cloud et comprendre et classer eux-mêmes les données saisies à l'aide de l'intelligence artificielle.

4. Contrôler en permanence les interactions de données

Pour que les entreprises puissent garantir la conformité, elles doivent surveiller tous les mouvements de données vers le cloud, à partir du cloud et au sein du cloud. Elles seront alors en mesure d'identifier les menaces potentielles et de prendre rapidement des contre-mesures susceptibles de mettre fin à une fuite de données ou à des violations de la protection des données. Des systèmes de sécurité appropriés leur permettent de surveiller toutes les données, les systèmes de stockage et les accès en temps réel et de détecter, de limiter ou de bloquer complètement les activités suspectes telles que les modifications inhabituelles des données ou les accès qui s'écartent des schémas normaux.

5. Sécuriser tous les terminaux

Pour combler toutes les failles de sécurité, les entreprises devraient utiliser une solution de sécurité qui permette d'appliquer les politiques de manière uniforme, des terminaux de l'entreprise aux appareils BYOD des collaborateurs. Cela permet par exemple d'empêcher les employés de sauvegarder des informations sensibles d'une plateforme de cloud sur leurs terminaux privés ou de déplacer ainsi des données d'un cloud fiable vers un service de cloud non sécurisé.

"Pour les entreprises, il est essentiel que leurs solutions de sécurité protègent les données dans le cloud sans limiter la productivité des employés", explique Fabian Glöser, Team Leader Sales Engineering chez Forcepoint à Munich. "C'est pourquoi ils doivent absolument utiliser des systèmes adaptatifs aux risques. De telles solutions sont en mesure d'analyser les comportements à risque et d'y répondre par des mesures adaptées au contexte concret. Elles empêchent ainsi la fuite involontaire de données sans imposer les mêmes règles et les mêmes limites à chaque collaborateur".

Source : www.forcepoint.com

Avec la distinction de platine, Epson fait partie des 1 % supérieurs de toutes les entreprises évaluées par EcoVadis dans tous les secteurs, ce qui reflète les progrès de l'entreprise en matière de durabilité. Epson a augmenté son score total de 77 points à 83 points sur 100, et ce bien qu'EcoVadis ait entre-temps mis en place des critères d'évaluation plus stricts. Cette certification indépendante donne aux clients la certitude qu'Epson est l'une des entreprises les plus responsables de son secteur.

Epson a également obtenu d'excellentes notes sur différents sous-points et s'est également classée parmi les 1 % les plus élevés de toutes les entreprises contrôlées pour les thèmes "Environnement" et "Travail et droits de l'homme", et parmi les 2 % les plus élevés pour le domaine "Achat durable". En outre, l'entreprise se classe parmi les 30 meilleurs pour cent pour le critère "éthique". Les critères d'évaluation d'EcoVaid pour ses récompenses sont de plus en plus stricts. Cette année, pour obtenir une médaille de platine, il faut faire partie du top 1 % de toutes les entreprises évaluées.

EcoVadis est une société de notation reconnue dans le monde entier, qui évalue plus de 130 000 entreprises dans plus de 220 catégories de secteurs et dans 180 pays. La dernière distinction de platine obtenue par Epson est la preuve de l'engagement continu de l'entreprise et des améliorations remarquables obtenues en matière de croissance durable au cours de l'année écoulée.

"La certification Platine est la conséquence de nos mesures visant à identifier et à résoudre les défis sociaux et environnementaux", a déclaré Takanori Inaho, président d'Epson Europe. "Nous suivons le principe directeur du "Sho Sho Sei", qui nous engage à nous améliorer en permanence et nous permet ainsi de développer des produits toujours plus compacts, efficaces et précis. Nos technologies propriétaires contribuent concrètement à la protection du climat, car nous sommes conscients de notre responsabilité dans la réduction de l'impact de nos actions sur la planète".

Des succès ont été obtenus...

Epson a déjà fait des progrès significatifs vers son objectif de devenir neutre en CO₂ d'ici 2050 et de renoncer complètement aux ressources fossiles d'ici là. Ainsi, plusieurs succès remarquables ont été obtenus au cours de l'exercice 2023 :

- Décarbonisation : Après avoir réussi à passer à 100 % d'électricité issue de sources d'énergie renouvelables sur tous ses sites dans le monde en 2023, Epson a franchi de nouvelles étapes en Europe pour atteindre ses objectifs de décarbonisation. Ainsi, les émissions liées aux voyages d'affaires ont été réduites de 19 % (pour l'exercice 2023 par rapport à l'exercice 2022). L'optimisation des chaînes logistiques pour les livraisons en provenance des usines asiatiques devrait permettre de réduire les émissions de CO₂ de 10 à 50 pour cent à l'avenir. Une installation de biomasse prévue au Japon réduira encore la dépendance aux combustibles fossiles.

- Responsabilité sociale : Epson renforce son engagement en faveur de la réalisation de la diversité, de l'égalité et de l'inclusion par le biais d'initiatives de formation complètes. Les sites de production de l'entreprise en Indonésie et aux Philippines ont reçu le statut de platine de la Responsible Business Alliance (RBA) pour les normes de travail éthiques élevées qui y sont appliquées.

- Renforcer la gouvernance : Le Bureau Veritas a également renouvelé la certification d'Epson pour avoir aligné ses activités commerciales sur les objectifs de développement durable (SDGs). L'entreprise est ainsi un précurseur dans ce domaine.

Boris Manev, Sustainability Director chez Epson Europe B.V., explique : "Notre idée est claire : nous voulons être le pionnier de l'innovation durable et poser des jalons en matière de responsabilité environnementale. Nos mesures ambitieuses, comme la promotion du recyclage des textiles en collaboration avec des entreprises leaders du secteur de la mode, montrent que la durabilité et le succès commercial vont de pair. Nos investissements dans le captage du CO₂ et les énergies renouvelables sont des jalons importants sur notre chemin vers un avenir neutre en carbone. Le prix Platine est le résultat d'un travail acharné et souligne le fort engagement de toute l'équipe Epson en faveur d'un avenir durable. Cette évaluation souligne non seulement notre leadership dans les domaines de la qualité des produits et de l'innovation, mais démontre également notre engagement à rendre notre industrie plus durable".

Source : www.epson.de