Swiss Cyber Security Days 2025 : changement à la tête de la présidence
Les Swiss Cyber Security Days (SCSD) auront lieu les 18 et 19 février 2025 sur le site de Bernexpo à Berne. Sur deux scènes, des intervenants de haut niveau expliqueront l'importance centrale du cyberespace et des nouvelles technologies dans notre vie. Après cinq ans à la tête de la présidence, l'ancienne conseillère nationale PLR Doris Fiala passe le flambeau au "plus grand bâtisseur de ponts" du Conseil national suisse, le conseiller national PEV Nik Gugger.
Bureau de la rédaction - 13 novembre 2024
Les Swiss Cyber Security Days (SCSD) auront lieu les 18 et 19 février 2025 sur le site de Bernexpo à Berne et montreront pourquoi le cyberespace et les nouvelles technologies comptent parmi les plus grands défis de notre époque. Les intervenants sont issus des domaines de la science, de la recherche, de la défense, de l'administration, de l'économie, des médias ainsi que de la vie civile.
Avec son enthousiasme et son grand engagement, l'ancienne conseillère nationale PLR Doris Fiala a fortement marqué le format de la manifestation. "Les SCSD étaient une affaire de cœur pour moi" dit Fiala. "Notre objectif a toujours été d'organiser un événement pertinent dans ce domaine urgent. Aujourd'hui, je suis fière de pouvoir dire que nous y sommes parvenus. Après cinq ans de présidence, passer le relais à mon estimé collègue Gugger me semble juste et bon".
Le successeur de Doris Fiala est le conseiller national PEV Dr. h. c. Nik Gugger, le "plus grand bâtisseur de ponts" du Conseil national suisse (CH Media 2021). Avec son expertise numérique, son engagement social et son réseau national et international, il est la personne idéale pour la présidence du SCSD. Nik Gugger est membre de la Commission de politique extérieure du Conseil national, fait partie de la délégation suisse au Conseil de l'Europe, président du groupe d'amitié parlementaire Suisse-Inde et coprésident du groupe parlementaire Suisse-Ukraine. "Beaucoup des grands thèmes de notre époque se déroulent sous forme numérique" dit Gugger. "Nous posons aujourd'hui les jalons de demain. Je me réjouis de participer en première ligne à ce que nous puissions nous mouvoir de manière autonome et sûre dans l'espace numérique".
Une base solide pour une stratégie de sécurité efficace grâce au logiciel ConSense QM
En octobre 2024, la nouvelle directive NIS2 est entrée en vigueur et concerne beaucoup plus d'entreprises qu'auparavant. La cybersécurité intervient désormais en profondeur dans les processus commerciaux et, de tâche informatique, elle devient de plus en plus un sujet de gestion de la qualité (QM). Un système de GQ systématique et transparent avec les solutions logicielles ConSense aide à la mise en œuvre des mesures de cyberprotection.
Bureau de la rédaction - 08 novembre 2024
Focus sur la cybersécurité : le rôle de la gestion de la qualité
Avec la nouvelle directive NIS2, il est clair que la cybersécurité ne concerne plus seulement le domaine informatique, mais l'ensemble de l'organisation. La gestion de la qualité joue donc un rôle central dans le domaine de la cybersécurité. L'intégrité des données et un accès contrôlé aux informations protègent contre les pertes de production et assurent la qualité des produits et des services. La NIS2 exige des entreprises, au plus tard maintenant, d'ancrer efficacement la cybersécurité dans leurs structures et de mettre en place une gestion globale des risques.
La cybersécurité bénéficie d'une gestion systématique de la qualité
Un système de gestion de la qualité systématique peut améliorer la cybersécurité à plusieurs égards. Grâce à une documentation standardisée et transparente des processus, il permet d'identifier les points faibles des procédures existantes - des portes d'entrée potentielles pour les cyber-attaques. Les contrôles et audits réguliers pour l'amélioration continue de la gestion de la qualité peuvent également être appliqués aux mesures de sécurité. La gestion des risques, également un élément essentiel de la GQ, permet d'identifier et d'évaluer systématiquement les risques spécifiques de cyber-attaques, par exemple dans le domaine informatique. La GQ met en outre l'accent sur la documentation transparente des processus et des mesures. Cela peut être étendu à tous les processus liés à la sécurité, afin de les documenter de manière compréhensible et de définir des mesures et des procédures en cas de cyber-attaques. Enfin, la formation continue des collaborateurs est ancrée dans la gestion de la qualité. En ce qui concerne la cybersécurité, des formations permettent de sensibiliser les employés aux risques de sécurité.
Vers une cybersécurité intégrée grâce au logiciel ConSense
Les solutions logicielles de ConSense GmbH offrent un soutien précieux pour établir la cybersécurité comme partie intégrante des processus de qualité et pour préparer les entreprises aux exigences de la NIS2. Elles conviennent à la mise en place de systèmes de gestion de la qualité et de gestion intégrée acceptés et vécus, qui se caractérisent par des structures transparentes et des droits d'accès clairement définis. Ils favorisent le flux d'informations entre les départements et simplifient ainsi la mise en œuvre de mesures de cybersécurité à l'échelle de l'entreprise. Le logiciel ConSense offre aux entreprises des catalogues d'exigences et des modèles déjà intégrés, par exemple pour TISAX ou pour la certification selon CISIS12.
ConSense : Un partenaire expérimenté pour la sécurité informatique
Grâce à sa vaste expertise, ConSense GmbH soutient les entreprises dans la mise en œuvre de thèmes complexes tels que la cybersécurité et la gestion des risques. Avec les normes de sécurité informatique les plus élevées, sa propre certification CISIS12, des sites de serveurs en Allemagne et une grande intégrité des données, la société de logiciels d'Aix-la-Chapelle propose des solutions qui garantissent la transparence et des structures stables. Les entreprises profitent d'un concept global : les solutions logicielles performantes sont utilisées comme système de qualité ou de gestion intégrée. Grâce à de nombreux modules et extensions, il en résulte un système de gestion adapté individuellement, vivant et accepté. Des services étendus soutiennent l'exploitation courante, notamment le conseil, les formations et l'échange au sein d'une communauté active.
Une étude sur la numérisation montre que les administrations peuvent faire plus
La nouvelle étude "Res Publica Digitalis" de digitalswitzerland appelle à plus de coopération et de concentration dans la numérisation de l'administration.
Bureau de la rédaction - 07 novembre 2024
Les éditeurs de l'étude voient de nombreux défis dans le système fédéraliste de la Suisse, mais citent également des opportunités. Ainsi, la petite structure administrative de la Suisse offre de la place pour des solutions flexibles et innovantes.
L'étude publiée le 6 novembre montre que ce sont surtout les petites communes qui sont confrontées à des obstacles lorsqu'elles essaient de maîtriser seules le changement numérique. Dans une Suisse fédéraliste, les coopérations telles que les réseaux intercommunaux sont donc porteuses d'avenir. Pour Mattia Balsiger, responsable de projet chez digitalswitzerland, il est clair que "les partenariats au niveau communal et cantonal permettent de mettre en œuvre la numérisation de l'administration de manière économique, efficace et de bonne qualité. Au vu des mesures d'économie prévues par la Confédération et de la pression constante en faveur de la numérisation, cela devient de plus en plus important".
Les exemples de bonnes pratiques donnent des raisons d'être confiant
Les auteurs de l'étude en sont convaincus : du point de vue stratégique, la Suisse est déjà sur la bonne voie pour une cyberadministration efficace et pratique. Cette thèse est étayée par des exemples concrets de villes et de cantons qui montrent comment fonctionne la numérisation proche des citoyens.
L'étude a été élaborée en collaboration avec les cantons d'Argovie, de Schwyz et de Schaffhouse, la Poste Suisse ainsi que les villes de Lausanne, Lucerne, Berne et Lugano. Les résultats fournissent des recommandations d'action concrètes et s'inscrivent dans les objectifs de la stratégie 2024-2027 de l'administration numérique suisse (ADS).
Vous trouverez l'étude, les études de cas régionales et un guide qui en découle télécharger ici.
Le nouveau règlement européen sur les forêts : une opportunité à saisir
Le règlement européen sur la déforestation (EUDR) est un grand pas en avant de l'Union européenne pour lutter contre la déforestation mondiale et promouvoir des chaînes d'approvisionnement durables. Initialement prévue pour fin 2024, l'entrée en vigueur du règlement a toutefois été reportée à fin 2025 en raison de défis importants, notamment pour les petites et moyennes entreprises (PME).
Bureau de la rédaction - 06 novembre 2024
Les PME auraient même jusqu'à juin 2026 pour se préparer à ces exigences étendues. Dès l'entrée en vigueur, les entreprises qui importent des matières premières telles que l'huile de palme, le cacao, le soja, le bois et le caoutchouc dans l'UE ou qui les distribuent au sein de l'UE devront fournir des preuves strictes sur l'origine de leurs produits. Les entreprises suisses qui exportent leurs produits vers l'UE sont également concernées et doivent prouver que leurs matières premières et leurs produits n'enfreignent pas la DDR de l'UE. Ce besoin accru d'informations place la gestion de la chaîne d'approvisionnement devant une tâche complexe. En effet, la collecte et la gestion de telles données augmentent considérablement les exigences administratives et demandent l'introduction d'outils et de processus numériques afin de garantir efficacement la conformité et la documentation.
Exigences de conformité et risques accrus pour les exportateurs suisses
Avec l'EUDR, les exportateurs suisses sont soumis à des exigences de conformité élevées afin de garantir les chaînes d'approvisionnement sans déforestation exigées. Les entreprises doivent non seulement fournir des preuves géographiques jusqu'à la source des matières premières, mais aussi s'assurer que leurs fournisseurs respectent les exigences de l'EUDR. "Le nouveau règlement pose des défis considérables, en particulier aux PME, car elles dépendent souvent de la conformité et de la fourniture de preuves précises par leurs fournisseurs étrangers", souligne l'expert Patrick Sommer.
Pour les entreprises suisses qui achètent des matières premières à des pays tiers, cela peut être particulièrement risqué, car elles dépendent de la fourniture de preuves précises par leurs fournisseurs étrangers. En effet, en cas de non-respect de la DUE, des sanctions et une éventuelle exclusion du marché de l'UE sont à craindre - un risque important pour les PME qui dépendent des exportations vers l'UE. Le travail de documentation et de contrôle augmente également considérablement, ce qui oblige les entreprises à mobiliser de nouvelles ressources humaines et financières. L'intégration de ces exigences dans les processus existants constitue donc un défi qui nécessite non seulement des solutions efficaces de contrôle, mais aussi de collecte de données.
SAP Ariba : une solution intégrée pour la mise en œuvre des exigences EUDR
Pour répondre à ces exigences complexes, de nombreuses entreprises suisses misent de manière ciblée sur des systèmes informatiques tels que SAP Ariba. "SAP Ariba est un outil puissant qui aide les entreprises à numériser l'ensemble de leur chaîne d'approvisionnement et à documenter systématiquement l'origine des matières premières. La plate-forme aide à collecter les données géographiques nécessaires et à mettre en place des processus automatisés qui simplifient la gestion et la conformité", raconte le responsable du conseil chez CNT Management Consulting.
En outre, les analyses de risques intégrées permettent d'identifier rapidement les éventuelles infractions. La base de données fournisseurs complète de SAP Ariba permet aux entreprises de sélectionner soigneusement leurs fournisseurs et de vérifier leurs normes de durabilité. Les entreprises peuvent ainsi s'assurer qu'ils répondent à la fois aux nouvelles exigences légales et aux attentes de leurs clients.
EUDR : une opportunité pour un positionnement durable sur le marché
Si les exigences strictes de la DUE posent des défis aux entreprises suisses, elles leur offrent également des opportunités stratégiques pour se positionner en tant que partenaire durable et responsable. "En utilisant SAP Ariba, les entreprises peuvent renforcer leur crédibilité en matière de responsabilité environnementale et sociale. Parallèlement, la plate-forme permet de gérer efficacement des exigences réglementaires parallèles et d'éviter les doubles emplois", explique l'expert. La combinaison de la transparence numérique et de la durabilité renforce non seulement le positionnement sur le marché, mais entraîne également une plus grande fidélisation des clients et un avantage concurrentiel à long terme. Ainsi, la mise en œuvre de la directive EUDR passe d'un défi à une opportunité que les entreprises peuvent saisir pour optimiser leurs processus et se positionner durablement sur le marché.
SGS, la société de test, d'inspection et de certification, est fière d'annoncer le lancement d'Impact Now pour le développement durable, une nouvelle approche de la prestation de services de développement durable, axée sur les exigences du marché en constante évolution et les besoins urgents de notre planète.
Bureau de la rédaction - 05 novembre 2024
La nécessité de la durabilité est aujourd'hui indéniable. L'impact de l'industrie sur l'environnement, les communautés et les individus ne peut plus être ignoré, et toutes les parties prenantes - des organismes de réglementation aux consommateurs - veulent voir des mesures positives contre le changement climatique, la perte de biodiversité et l'impact social. SGS répond à cet appel avec Impact Now pour la durabilité.
SGS est conscient que chaque organisation se trouve à une étape différente de son parcours de durabilité. Qu'elles commencent à peine ou qu'elles cherchent à optimiser leurs initiatives de durabilité existantes, Impact Now pour la durabilité propose des solutions sur mesure pour aider les clients à atteindre leurs objectifs spécifiques en matière de durabilité.
Impact Now pour la durabilité consolide les offres de durabilité de SGS sous quatre piliers stratégiques : climat, économie circulaire, nature et assurance ESG. À travers ces piliers, SGS propose des solutions de conformité fiables qui aident directement les entreprises à faire face aux principaux défis environnementaux et sociaux qui affectent notre planète :
Climat - Réduction des émissions de gaz à effet de serre et transition énergétique à coût nul
Économie circulaire - Réduire la pollution plastique et permettre l'économie circulaire grâce à une conception durable, à l'optimisation des matériaux, à la recyclabilité et à une gestion efficace des déchets.
Nature - gestion des risques environnementaux, y compris la contamination (PFAS, microplastiques, etc.), afin d'enrayer la perte de biodiversité et la dégradation des écosystèmes
Assurance ESG - aligner les compétences et les stratégies sur les exigences réglementaires et les objectifs de l'entreprise afin de garantir la responsabilité, l'exactitude et la cohérence des informations ESG.
Face aux nouvelles réglementations qui imposent des déclarations ESG et à l'importance croissante des processus et produits durables, Impact Now pour la durabilité offre une plateforme complète permettant aux entreprises de trouver les solutions sur mesure dont elles ont besoin pour améliorer leur durabilité et répondre aux exigences de conformité.
Géraldine Picaud, PDG de SGS, a déclaré : "Impact Now pour la durabilité est plus qu'un simple concept. Nous traitons la triple crise planétaire du changement climatique, de la perte de biodiversité et de la pollution et des déchets. En intégrant la durabilité dans chacune de nos actions et chacun de nos services, nous apportons une contribution positive à la société et à la réalisation d'un monde respectueux de la nature et de l'environnement".
Source et informations complémentaires : www.sgs.com
Inventx : sécurité de bout en bout avec "24/7 Eyes on Screen
Inventx, partenaire informatique et numérique de banques et d'assurances suisses de renom, a intégré un nouveau modèle d'exploitation de sécurité étendu qui assure une surveillance continue 24 heures sur 24, au-delà des services de piquet habituels. Mais le nouveau modèle ne se contente pas d'augmenter la capacité de réaction en cas de cyberincident.
Bureau de la rédaction - 05 novembre 2024
En Suisse, une cyberattaque sur cinq vise le secteur financier. Dans sa communication sur la surveillance de juin dernier, la FINMA avait déjà mis le doigt sur le point sensible, à savoir que certains établissements financiers ne surveillaient pas systématiquement et en temps réel leurs technologies de l'information et de la communication et que les données critiques des journaux n'étaient parfois exploitées que pendant les heures de bureau.
Reto Zeidler, Cluster Leader Cyber Security d'Inventx, déclare à ce sujet : "Faire travailler les collaborateurs toute la nuit n'est pas seulement malsain, mais aussi peu populaire auprès des professionnels expérimentés. Le défi consiste à garantir la conformité à la FINMA tout en offrant aux talents dont nous avons besoin des possibilités de travail et de développement attrayantes".
Depuis le 1er septembre, Inventx a donc fait passer son centre de cyber-résilience à un modèle d'exploitation "Follow the Sun", qui garantit une surveillance de la sécurité 24 heures sur 24. Par "24/7 Eyes on Screen", on entend une surveillance ininterrompue, y compris la nuit, les week-ends et les jours fériés, qui est rendue possible grâce à une connexion sans faille entre le centre de cyber-résilience ix.basé en Suisse et un site également exploité par Inventx elle-même à Vancouver, en Colombie-Britannique/Canada. Ce site offre des conditions idéales en ce qui concerne les normes de protection des données requises dans un fuseau horaire complémentaire. Les relations économiques étroites entre la Suisse et le Canada facilitent en outre le détachement des collaborateurs depuis la Suisse.
Inventx fait ainsi partie des très rares fournisseurs du marché suisse à proposer un "Security Operations Center as a Service" (SOCaaS) de bout en bout.
Grâce à l'efficacité de l'exploitation 24 heures sur 24 et aux possibilités de réaction immédiate correspondantes, les clients d'Inventx peuvent mieux répondre au strict respect des exigences légales et réglementaires, et la protection des clients est renforcée. Ce modèle renforce en même temps l'attractivité d'Inventx en tant qu'employeur, en donnant notamment aux talents de la sécurité recherchés la possibilité d'acquérir de l'expérience à l'étranger et de faire avancer leur développement personnel.
Nouvelle norme pour le diagnostic d'aptitude professionnelle
Lors de la recherche de collaborateurs appropriés, des procédures et des méthodes scientifiquement fondées peuvent être un facteur de réussite décisif. Désormais, les psychologues et les spécialistes RH peuvent s'appuyer sur une norme suisse dans le cadre du diagnostic d'aptitude professionnelle. La FSP est convaincue qu'un standard de qualité élevé sera ainsi garanti et que les connaissances psychologiques spécialisées auront une place bien établie.
Bureau de la rédaction - 04 novembre 2024
Le diagnostic d'aptitude professionnelle est un domaine professionnel dans lequel travaillent aussi bien des psychologues que des spécialistes RH. Leur tâche consiste à trouver des candidats appropriés pour un poste vacant. La nouvelle norme suisse soutient dès aujourd'hui les professionnels compétents dans cette démarche. En effet, ceux qui utilisent des procédures et des méthodes scientifiquement fondées atteignent non seulement un taux de réussite nettement plus élevé lors du recrutement de nouveau personnel, mais trouvent aussi en général des personnes qui restent à long terme dans l'entreprise.
Qu'est-ce qu'une norme ?
L'application des normes est en principe volontaire. Sauf si elle fait l'objet d'un contrat entre deux parties, par exemple, elle acquiert un caractère contraignant. Les normes sont écrites par des utilisateurs pour des utilisateurs sur une base volontaire. Le secteur décide lui-même de la normalisation qu'il juge nécessaire et utile.
SN 33430 - la nouvelle norme suisse
La nouvelle norme suisse décrit la manière dont les décisions relatives au personnel sont préparées, les évaluations réalisées et les informations pertinentes pour l'aptitude analysées. Elle s'inspire de la norme allemande du même nom. La FSP a révisé la norme allemande en collaboration avec l'Association suisse de normalisation (SNV) et des experts renommés du monde scientifique et de la pratique.
Annick de Buman, Fédération Suisse des Psychologues (FSP)
Dr. Benedikt Hell, FHNW, Haute école de psychologie appliquée
Daniel Jungo, Société suisse de psychologie de la carrière et du personnel (SSPP) et Centre suisse de services Formation professionnelle / orientation professionnelle, universitaire et de carrière (CSFO)
Michael Platen, Aequivalent SA
Sabine Sauter, Société suisse de psychologie du travail et des organisations (SSPTO)
Ruth Schneider, Association suisse de normalisation (SNV)
Sébastien Simonet, Fédération Suisse des Psychologues (FSP)
Assurance et développement de la qualité
La FSP est convaincue que l'introduction de la norme en Suisse permettra de garantir des standards élevés dans le domaine du diagnostic d'aptitude professionnelle. La norme exige des connaissances et une expérience étendues de la part des personnes impliquées à divers titres dans le diagnostic d'aptitude professionnelle. La norme peut également être utilisée comme guide pour développer les processus déjà en place dans les entreprises et améliorer ainsi en permanence la qualité du travail.
Acquisition de la norme
La norme peut être achetée sur le site web de la SNV. Actuellement, la norme n'est disponible qu'en allemand. Elle est en cours de traduction et sera probablement publiée en français début 2025.
Source et informations complémentaires : www.snv.ch
Jusit - Le leader du marché des smartphones reconditionnés en Suisse poursuit sa croissance
Jusit, la marque de smartphones reconditionnés, fête ses quatre ans et poursuit sa croissance. Au cours des huit premiers mois de l'année 2024, environ 8 % du total des smartphones vendus par mobilezone étaient des appareils jusit.
Bureau de la rédaction - 01 novembre 2024
Il y a quatre ans, mobilezone a créé la marque jusit pour les smartphones d'occasion, testés et reconditionnés, offrant ainsi à ses clients une alternative durable à un appareil neuf.
Roger Wassmer, CEO de mobilezone Suisse, se réjouit du succès de jusit : "Avec jusit, nous avons créé une marque durable unique sur le marché suisse : de la reprise par nos clients suisses à la revente en ligne et dans les boutiques mobilezone, en passant par le refubishing sur place à Rotkreuz, nous couvrons toute la chaîne de création de valeur en interne et donc en Suisse".
Le succès du modèle se reflète également dans les chiffres : de janvier à août 2024, 7,7% du total des smartphones vendus par mobilezone Suisse étaient d'occasion. Cela représente presque un doublement par rapport à la même période de l'année précédente. Mobilezone tient compte de la demande croissante de smartphones reconditionnés et équipera d'ici la fin de l'année 2024 une centaine de shops en Suisse avec l'assortiment jusit. Les clients ont ainsi encore plus de possibilités d'examiner et d'acheter les appareils directement sur place. De plus, mobilezone rend l'offre de smartphones jusit encore plus attrayante : les appareils peuvent également être achetés en bundle avec un abonnement de Swisscom, Wingo, TalkTalk et désormais aussi avec Salt. Parmi les appareils reconditionnés de jusit les plus appréciés et donc les plus vendus cette année, on trouve l'iPhone 13 et l'iPhone 12 d'Apple ainsi que le Samsung S23 Ultra.
Les smartphones jusit proviennent principalement du programme d'échange de mobilezone : les clients peuvent retourner leurs smartphones usagés dans chaque shop mobilezone ou les faire estimer en ligne et les envoyer par la poste à mobilezone. Des techniciens certifiés procèdent à l'effacement des données, contrôlent les appareils et les remettent en état sur leur site de réparation à Rotkreuz, dans le canton de Zoug, en utilisant exclusivement des pièces de rechange d'origine.
Jusit, élément central de la stratégie de durabilité de mobilezone
Depuis 2020, le groupe mobilezone dispose d'une stratégie de durabilité - jusit est un élément important de cette stratégie. Le retraitement des appareils permet de prolonger leur cycle de vie et d'économiser les matières premières et les émissions qui seraient sinon extraites ou émises pour la production d'un nouvel appareil. Cela contribue directement aux objectifs de mobilezone en matière de CO₂. Depuis 10 ans déjà, mobilezone reprend les smartphones qui ne sont plus utilisés mais qui sont encore en état de marche.
Première réussie pour le premier Sommet de la communication
Le 29 octobre, le premier sommet de la communication de MediCongress s'est tenu à Zurich. De nombreux professionnels de la communication du secteur de la santé ont profité de l'occasion pour se mettre en réseau, échanger des expériences et obtenir de nouvelles perspectives dans des domaines tels que le storytelling, l'employer branding et l'IA pour la communication en matière de santé. Le programme était centré sur 16 experts des domaines de la communication, du marketing et de l'informatique qui ont présenté des approches actuelles.
Bureau de la rédaction - 31 octobre 2024
MediCongress fête sa première : le 29 octobre 2024, le premier Sommet de la communication a eu lieu à Zurich. Le congrès s'adresse aux spécialistes du marketing et de la communication du secteur de la santé et assure de nouvelles connaissances dans la communication en matière de santé. "Les nombreux visiteurs du premier Sommet de la communication ont montré à quel point l'intérêt pour une communication de la santé tournée vers l'avenir est grand. Nous sommes heureux qu'autant de professionnels de la santé aient été présents et qu'ensemble, nous puissions faire passer la communication dans notre secteur à un niveau supérieur", a déclaré Joel Brandenberger, membre de la direction de MediCongress.
Storytelling, contenu et perspectives d'avenir
Les intervenants ont emmené les visiteurs dans un voyage dans le monde du marketing moderne de la santé. Ferris Bühler, expert en communication et en médias, a ouvert la journée avec un exposé sur le storytelling, qui a montré comment des histoires vivantes peuvent renforcer la confiance des patients. Ensuite, des aperçus pratiques du marketing de contenu ont été présentés, avec des stratégies pour des contenus authentiques et ciblés. Britta Fleck, directrice de Google, a jeté avec le public un regard sur l'avenir de la publicité basée sur l'IA, et des présentations complémentaires ont abordé la manière dont l'IA et les outils intégrés de gestion de la relation client peuvent rendre le développement des campagnes et la fidélisation des clients plus efficaces.
Culture d'entreprise et gestion de crise
Après un après-midi de réseautage inspirant, Dietmar Dahmen, le charismatique fondateur et CEO de Dietmar Dahmen Brainkicks GmbH, a ouvert la table ronde de l'après-midi avec un prélude captivant : "L'avenir et le changement se produisent - que nous le voulions ou non. Notre tâche n'est pas seulement de suivre le rythme, mais de faire avancer les changements et de les façonner activement", a déclaré l'expert en innovation. D'autres exposés sur la culture d'entreprise, l'employer branding et la fusion branding ont complété le programme. Mathias Ebneter et Guido Marsch, du prestataire de services informatiques Netsafe, ont clôturé la journée en présentant une étude de cas sur le thème des cyberattaques, qui a montré comment une communication ciblée peut désamorcer une crise.
Avec des thèmes de communication complets, MediCongress a proposé lors du premier Sommet de la communication un programme varié qui abordait les défis actuels de la communication en matière de santé. Les participants sont maintenant invités à intégrer les nouvelles connaissances acquises dans leur travail quotidien et à contribuer ainsi au développement de la communication en matière de santé.
La Suva a renforcé son équipe médias avec Caspar van de Ven. Il travaille désormais dans la salle de presse de la Suva en tant que porte-parole du plus grand assureur-accidents de Suisse. Le service de presse de la Suva est ainsi à nouveau au complet.
Bureau de la rédaction - 31 octobre 2024
Caspar van de Ven a pris ses fonctions de porte-parole de la Suva à Lucerne à la mi-octobre 2024. Dans la newsroom de la Suva, il mettra l'accent sur le suivi des activités et des demandes des médias dans les domaines de la prévention (sécurité au travail et pendant les loisirs) et de la protection de la santé.
Le service de presse de la Suva est donc à nouveau au complet et se compose des personnes suivantes : Simone Isermann (point fort : finances et stratégie, gestion des sinistres et réadaptation), Caspar van de Ven (point fort : sécurité au travail et pendant les loisirs), Nadia Gendre (point fort : Suisse romande) et Regina Pinna-Marfurt (point fort : Tessin).
Âgé de 38 ans, il a auparavant travaillé dix ans comme journaliste. Chez Radio Pilatus, Tele 1 et PilatusToday, Caspar van de Ven a notamment été rédacteur, producteur, présentateur du journal télévisé et responsable de la journée. Il a suivi la formation diplômante en journalisme et le cours de gestion de rédaction à l'Institut de journalisme et de communication (MAZ), ainsi qu'une formation continue en relations avec les médias.
Conformité : le plus grand défi du commerce international
Plus de la moitié des entreprises actives dans le commerce international craignent de ne pas pouvoir se conformer aux réglementations douanières toujours plus nombreuses et complexes. Cela est dû à des perturbations géopolitiques sans précédent, à un manque de connaissances et de capacités internes et à l'impact de l'IA. C'est ce que révèle une enquête représentative menée auprès d'entreprises de logistique et de fabricants de marchandises internationaux.
Bureau de la rédaction - 30 octobre 2024
Les prestataires de services logistiques et les chargeurs, tels que les transitaires mondiaux et les fabricants multinationaux des secteurs de l'automobile, du commerce de détail, des biens de consommation et des biens de grande consommation (FMCG), expriment ces préoccupations dans l'enquête Strategic Radar :
Plus de 51% considèrent le renforcement de la conformité comme le plus grand défi du commerce international
58% ne disposent pas des compétences et des ressources nécessaires pour y remédier efficacement
45 % s'adressent à des spécialistes des solutions douanières et commerciales, car ils ont besoin d'un savoir-faire externe
Cette enquête représentative a été menée par le Customs Support Group (CSG), le fournisseur européen de solutions douanières et commerciales. Les perturbations géopolitiques et l'impact de l'IA ont également été cités comme défis.
Peu sûr des questions de conformité. Que faire ?
"Les entreprises actives dans le commerce international partagent une préoccupation commune : la peur des risques liés à une infraction aux réglementations complexes et en constante augmentation", déclare John Wegmann, CEO du Customs Support Group. "Ces préoccupations mettent en évidence l'importance de l'expertise douanière dans le commerce international. Malgré les progrès de l'automatisation, les clients continuent de compter sur notre expertise pour gérer les problèmes douaniers critiques".
Une autre raison de l'externalisation serait l'accès à des solutions numériques plus avancées. Celles-ci améliorent l'efficacité et la précision des données. En outre, étant donné que le dédouanement nécessite encore beaucoup de papier, qu'il est manuel et sujet aux erreurs, 42 % des personnes interrogées soulignent l'importance des nouvelles solutions technologiques. Beaucoup considèrent l'IA comme une possibilité importante d'améliorer l'automatisation et l'efficacité - mais uniquement en combinaison avec l'expertise humaine dans le domaine des customs et du trade.
Le symposium sur les premiers secours a encore été un grand succès en 2024
Le symposium des secouristes 2024 s'est penché sur le thème "Femmes et hommes". Les intervenants ont expliqué les nombreuses différences entre les femmes et les hommes en matière de premiers secours de manière humoristique et approfondie. Le symposium des premiers secours a eu lieu pour la dernière fois dans l'auditorium du KKL Luzern - il déménagera l'année prochaine dans la Luzernersaal du KKL Luzern. Le programme est déjà fixé.
Bureau de la rédaction - 29 octobre 2024
Nous avons beau nous efforcer de devenir égaux sur le plan social, politique, culturel et économique, l'anatomie des femmes et des hommes reste différente. Et cela a des conséquences sur les éventuelles urgences médicales et les premiers secours adaptés. Là où il y a des différences, il faut de la compréhension. C'est précisément cette compréhension que le Symposium des premiers secours 2024 a encouragée.
Willem van Waasbergen, ambulancier et infirmier anesthésiste, a emmené les participants pour une brève excursion dans l'anatomie. Il s'est ensuite entièrement focalisé sur les femmes : du cycle menstruel aux infections urinaires ou à la pré-éclampsie, en passant par les grossesses, les fausses couches et les grossesses extra-utérines. Il a ponctué la théorie de ses expériences personnelles dans son quotidien professionnel. Il a également mis fin à la question de savoir s'il fallait vraiment laisser les femmes enceintes à gauche : mieux vaut être à gauche qu'à droite, mais mieux vaut être à droite que sur le dos.
Après qu'un homme se soit attaqué aux femmes, une femme s'est attaquée aux hommes. Doris Mannhard, spécialiste en urologie FMH à l'Uroclinic d'Uster, a abordé toutes sortes d'urgences masculines, notamment les hernies, les épididymes, les torsions testiculaires ou les rétentions urinaires. Elle aussi a parlé de sa pratique et des cas qu'elle rencontrait dans son quotidien professionnel - et a souvent déclenché des gémissements bien perceptibles parmi les participants masculins.
Différences religieuses et culturelles
Il existe également des différences en ce qui concerne les origines culturelles et religieuses des personnes. Mais elles ne sont souvent pas aussi faciles à apprendre que les particularités anatomiques. Certains patients ne veulent pas être réanimés, d'autres ne veulent pas de sang étranger, d'autres ne doivent pas être touchés et d'autres encore ne doivent pas être seuls dans la pièce. Et : il peut être extrêmement difficile de concilier ces différences avec ses propres valeurs et les procédures qu'on a apprises.
Stephan Schärli a consacré son exposé à cette thématique. Pour cela, il a puisé dans une vaste expérience : il est entre autres ambulancier, directeur d'un service d'urgence interdisciplinaire au Luks de Wolhusen et président d'un service d'aide et de soins à domicile. Et il a surtout transmis une chose aux participants : Il s'agit de communication - verbale et non verbale.
Table ronde : toute la gamme des défis
Le thème "hommes et femmes" présente toutefois encore de nombreux autres pièges dans les premiers secours. Par exemple, la fixation de limites, la protection juridique et l'autoprotection psychique des secouristes.
De telles questions ont été abordées lors de la table ronde finale. Deux membres du comité de l'ASFS se sont joints aux intervenants et à la conférencière : Bruno Ducceschi et Katia Güntert ont raconté de nombreuses histoires et exemples tirés de leurs trésors d'expérience.
Le symposium sur les premiers secours 2025 déménage
Après quatre éditions réussies dans l'auditorium, le prochain symposium des premiers secours, qui aura lieu le 8 novembre 2025, déménagera à l'intérieur du KKL Luzern dans la Luzernersaal - et sera ainsi encore plus professionnel, encore plus agréable et encore plus impressionnant.
Le programme est déjà fixé. Sous le titre "Premiers intervenants - déjà un pied en prison ?", il aborde différents thèmes ayant une portée juridique :
Le bon comportement sur les lieux d'un accident : que ne voient pas d'un bon œil la police et le ministère public et quand peut-on quand même se permettre de le faire ? C'est ce que Michael Muther, chef de la police de sécurité du Sud, aborde plus en détail.
Les relations avec les médias : que faire lorsqu'on est photographié sans qu'on le demande et que peut-on dire lorsqu'un journaliste pose des questions ? Kay Schubert, professionnel des médias, répond à ces questions.
La distribution de médicaments : que peuvent, doivent ou peuvent faire les secouristes ? Cette question suscite toujours de l'ignorance, mais aussi de l'incompréhension. Rudolf Hauri, médecin cantonal du canton de Zoug, abordera ce sujet.
C'est un directeur de prison qui clôturera la journée : Marcel Ruf (JVA Lenzburg) expliquera comment les premiers secours sont organisés dans une prison, ce à quoi on se prépare et comment on procède lorsque les services de secours doivent entrer et sortir de la prison.
Du débutant au professionnel, en français et en allemand
Le symposium des secouristes s'adresse à tous les secouristes, qu'ils soient débutants, avancés ou professionnels, qu'il s'agisse de samaritains, de secouristes d'entreprise, de particuliers ou d'organisations à feu bleu. Grâce aux traductions simultanées de toutes les conférences, les secouristes de Suisse alémanique et de Suisse romande sont concernés.
Les conférenciers et conférencières de haut niveau se consacreront à leurs sujets pendant environ une heure - les questions des participants auront beaucoup de place et de temps.
Bien entendu, le programme-cadre est également important : en 2025, encore plus d'exposants présenteront leurs produits, cours et services dans le foyer et les pauses offriront à la fois suffisamment de temps et une atmosphère appropriée pour échanger et entretenir son réseau.
Et : la SSST a confirmé 2 points de formation continue pour la participation au Symposium des premiers secours 2025, l'IAS comptabilisera 3,5 heures dans le certificat IAS.